André Street : Différence entre versions
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*Sous-lieutenant. Appartenant au réseau de résistance BOA et membre des forces françaises combattantes (FFC). | *Sous-lieutenant. Appartenant au réseau de résistance BOA et membre des forces françaises combattantes (FFC). | ||
| − | * | + | *Décoré de la Croix de guerre à titre posthume. Médaille de la résistance et médaille franco-britannique. |
| − | * | + | *Décoré de la Légion d'honneur à titre posthume, avec la citation suivante : |
{{Citation|Magnifique patriote, membre des forces françaises combattantes. Arrêté pour faits de résistance le 27 août 1944, a été interné jusqu'au 31 août 1944, puis déporté le {{1er}} septembre 1944 dans un camp de concentration où il est mort glorieusement pour la France, le 15 mars 1945.}} | {{Citation|Magnifique patriote, membre des forces françaises combattantes. Arrêté pour faits de résistance le 27 août 1944, a été interné jusqu'au 31 août 1944, puis déporté le {{1er}} septembre 1944 dans un camp de concentration où il est mort glorieusement pour la France, le 15 mars 1945.}} | ||
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*''Voix du Nord'', 28 janvier 1955. | *''Voix du Nord'', 28 janvier 1955. | ||
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Version actuelle en date du 14 février 2021 à 19:41
- André Street est né le 6 juillet 1920 à Wimereux.
- Après la destruction par les bombes de sa maison située à Boulogne-sur-Mer, il déménage pour Arras. Engagé dans la résistance, il bénéficie d'un emploi communal grâce à Georges Besnier, alors secrétaire général de la mairie. Pour déjouer la Gestapo, il se fait également appeler André Carpentier. Mais il fut arrêté quelques jours avant la libération d'Arras.
- Sous-lieutenant. Appartenant au réseau de résistance BOA et membre des forces françaises combattantes (FFC).
- Décoré de la Croix de guerre à titre posthume. Médaille de la résistance et médaille franco-britannique.
- Décoré de la Légion d'honneur à titre posthume, avec la citation suivante :
« Magnifique patriote, membre des forces françaises combattantes. Arrêté pour faits de résistance le 27 août 1944, a été interné jusqu'au 31 août 1944, puis déporté le 1er septembre 1944 dans un camp de concentration où il est mort glorieusement pour la France, le 15 mars 1945. »
Sources
- Musée de l'ordre de la Libération
- Voix du Nord, 28 janvier 1955.
