Chapelle du Saint-Esprit de Fruges : Différence entre versions
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Chapelle édifiée à [[Fruges]] entre les {{n°}} 56 et 58, par Nicolas Corsaux en 1773. Cette chapelle est un ex-voto au Saint-Esprit qui l'aurait inspiré de prendre un chemin inhabituel pour se rendre à [[Saint-Omer]] porter une forte somme d'argent à ses fournisseurs. Ses détrousseurs présumés attaquèrent une autre personne. Ceux-ci se rendant compte de leurs méprise la relâchèrent. C'est elle qui mit Nicolas Corsaux au courant du grand danger auquel il avait échappé. Pendant la Révolution, le mobilier de la chapelle fut évacué afin qu'il ne soit saccagé. La chapelle fut rendue au culte quelques années après. Elle fut très fréquentée jusqu'après la Seconde Guerre Mondiale, une neuvaine s'y pratiquait pendant les fêtes de la Pentecôte ; le mardi, il y avait une messe solennelle à 10 heures et les autres jours à 6 heures. Elle appartient aux descendants de la famille Loy-Bouvart qui résident maintenant dans la région de [[Boulogne-sur-Mer]]. | Chapelle édifiée à [[Fruges]] entre les {{n°}} 56 et 58, par Nicolas Corsaux en 1773. Cette chapelle est un ex-voto au Saint-Esprit qui l'aurait inspiré de prendre un chemin inhabituel pour se rendre à [[Saint-Omer]] porter une forte somme d'argent à ses fournisseurs. Ses détrousseurs présumés attaquèrent une autre personne. Ceux-ci se rendant compte de leurs méprise la relâchèrent. C'est elle qui mit Nicolas Corsaux au courant du grand danger auquel il avait échappé. Pendant la Révolution, le mobilier de la chapelle fut évacué afin qu'il ne soit saccagé. La chapelle fut rendue au culte quelques années après. Elle fut très fréquentée jusqu'après la Seconde Guerre Mondiale, une neuvaine s'y pratiquait pendant les fêtes de la Pentecôte ; le mardi, il y avait une messe solennelle à 10 heures et les autres jours à 6 heures. Elle appartient aux descendants de la famille Loy-Bouvart qui résident maintenant dans la région de [[Boulogne-sur-Mer]]. | ||
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Version actuelle en date du 29 mai 2014 à 10:15
Chapelle édifiée à Fruges entre les n° 56 et 58, par Nicolas Corsaux en 1773. Cette chapelle est un ex-voto au Saint-Esprit qui l'aurait inspiré de prendre un chemin inhabituel pour se rendre à Saint-Omer porter une forte somme d'argent à ses fournisseurs. Ses détrousseurs présumés attaquèrent une autre personne. Ceux-ci se rendant compte de leurs méprise la relâchèrent. C'est elle qui mit Nicolas Corsaux au courant du grand danger auquel il avait échappé. Pendant la Révolution, le mobilier de la chapelle fut évacué afin qu'il ne soit saccagé. La chapelle fut rendue au culte quelques années après. Elle fut très fréquentée jusqu'après la Seconde Guerre Mondiale, une neuvaine s'y pratiquait pendant les fêtes de la Pentecôte ; le mardi, il y avait une messe solennelle à 10 heures et les autres jours à 6 heures. Elle appartient aux descendants de la famille Loy-Bouvart qui résident maintenant dans la région de Boulogne-sur-Mer.
