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Historique

Les origines du collège (1962-1973)

La fondation du collège de Fauquembergues résulte de la démocratisation de l’enseignement, dont les prémices se dessinent dès les lendemains de la guerre, mais dont le développement est manifeste dans les années soixante avec la prolongation de la scolarité. Dans cette perspective, c’est en 1962 qu’est ouvert un G.O.D. en annexe de l’école de garçons dirigée alors par Gaston Dacheville.

C’est cependant à Paul Lecherf, devenu directeur en 1964, qu’a incombé la tâche de transformer cette modeste initiative en un collège d’enseignement général, susceptible d’accueillir la majeure partie de la population scolaire de 11-15 ans dans tous les types d’enseignements prévus par les textes (cycle moderne et cycle transition-pratiques).

La croissance du collège est manifeste dans les années soixante. En 1970, l’établissement est achevé dans ses structures pédagogiques, accueillant plus de trois cents élèves venant des onze communes du secteur scolaire. L’équipe des enseignants, jeunes pour la plupart issus de la génération du baby-boom, gonfle rapidement, constituant la presque totalité du personnel. Un service annexe de cantine se met en place, géré tout d’abord sur le mode associatif. Le Conseil général assure le transport gratuit des enfants.

La rapidité de cette croissance a soulevé de très nombreux problèmes matériels, qu’a pris à bras le corps, à l’époque, la municipalité de Fauquembergues dirigée par Norbert Ritaine et soutenue par la sollicitude du nouveau conseiller général Henri Gallet. D’année en année, il faut installer des classes préfabriquées, aménager le silo, le plateau sportif, procurer les équipements nécessaires. On comprend dans cette situation que les élus locaux aient à coeur de demander la nationalisation du collège et de prévoir les dispositifs administratifs mieux à même de gérer une telle institution... Un SIVOM est créé à cet effet en 1971, par les maires des onze communes du secteur scolaire, et la nationalisation, constamment sollicitée, aboutira en 1973.

• 1959, janvier.- Ordonnance Berthoin, ministre de l’éducation nationale
  • Prolongation de la scolarité à 16 ans
  • Création du cycle d’observation
  • Les Cours Complémentaires deviennent C.E.G
• 1960, octobre.- Décret créant le CAPCEG
• 1961, mai.- Le Conseil Municipal évoque la possibilité d’ouverture d’une sixième à l’école de garçons et émet un avis favorable.
• 1962, septembre.- Un groupe d’orientation dispersé est créé au sein de l’école primaire de garçons de Fauquembergues, dirigé par Gaston Dacheville. Jean-Marie Duflos est chargé de l’enseignement pour les élèves de 6^e. La cantine est installée à la mairie.
• 1962, décembre.- Le Conseil Municipal de Fauquembergues accepte la construction de cinq classes pour les 5^e, 6^e et Terminale, réfectoire et cuisine. M. Duflos, instituteur adjoint, est chargé de sa gestion, dans le cadre d’un Comité de gestion, association loi 1901.
• 1963, février.- Norbert Ritaine est élu maire de Fauquembergues. Il sera l’un des artisans du développement du nouveau collège.
• 1963, août.- Réforme Fouchet, ministre de l’Éducation nationale
  • Création d’un cycle d’observation (6^e-5^e) et d’orientation (4^e-3^e).
  • Distinction entre C.E.S et C.E.G
  • Création des filières M1 et Transition-Pratique
• 1963, septembre.-
  • Deux professeurs : Gérard Fouache et Paul Vasseur
  • Les cours sont dispensés à la mairie
  • Paul Vasseur prend la responsabilité du Comité de gestion de la cantine
• 1964, juin.- Départ en retraite de Gaston Dacheville
• 1964, septembre.-
  • Paul Lecherf est nommé directeur du G.O.D et de l’école primaire de garçons
  • Construction d’un premier préfabriqué de trois classes (information du maire en mai)
  • Paul Lecherf , aidé de Gérard Fouache, prend en charge le Comité de Gestion de la cantine.
• 1965, septembre.- Le G.O.D, doté désormais des trois niveaux d’enseignement, devient C.E.G. à part entière. Quatre enseignants : Paul Lecherf, Gérard Fouache, Paul Vasseur, Michel Mauconduit.
• 1966, février.- La municipalité de Fauquembergues demande la nationalisation du C.E.G.
• 1966, avril-juin.- La municipalité de Fauquembergues décide d’acquérir le silo de l’Avenir Rural pour 48 000 francs et décide de son aménagement (devis de 99 072 francs subventionné à 50 %).
• 1966, juin.- Départ en retraite de Paul Vasseur, professeur de Lettres-Anglais
• 1966, septembre.-
  • Ouverture d’une Troisième
  • Aménagement du silo (trois salles de classe, une cantine et une cuisine)
• 1967, mars.- Délibération municipale concernant l’aménagement du terrain sportif scolaire.
• 1967, septembre.- Ouverture du cycle de transition
• 1968, mai-juin.- Événements de mai 1968. Trois semaines de grève du 13 mai au 7 juin
• 1968, juillet-août.- Arrêté Edgar Faure, ministre de l’Éducation nationale
  • mathématiques modernes en 6^e et 5^e
  • suppression du latin en 6^e
• 1968, septembre.-
  • Une seconde langue, l’allemand, en quatrième
  • Construction de trois classes préfabriquées (délibération municipale)
  • L’horaire passe à vingt-sept heures (plus de cours le samedi après-midi)
• 1969, janvier.- Le C.E.G mixte devient C.E.G. municipal (arrêté ministériel)
• 1969, mars.- La municipalité de Fauquembergues demande une nouvelle fois la nationalisation du collège.
• 1969, mai.- Décret créant le corps des P.E.G.C.
• 1969, septembre.-
  • Ouverture d’une quatrième pratique (Melle Marie-Jeanne Thelliez)
  • Construction de quatre classes préfabriquées (délibération municipale de mars)
• 1970, juin.-
  • Fête des Lendits
  • Exposition accompagnant l'« année de l’environnement »
• 1971, septembre.- Fondation du Syndicat intercommunal à vocation multiple du canton de Fauquembergues, dont l’objectif principal concerne le collège. Joseph Ritaine, adjoint au maire de Fauquembergues en est le premier président
• 1971, septembre.- Le collège dispose de deux nouvelles classes démontables, venant de Marquion ; (propriété de l’État) ces classes sont installées dans la cour de récréation.
• 1972, mai.- Arrêté fixant le congé hebdomadaire au mercredi à la place du jeudi
• 1972, septembre.- Nomination d’un professeur d’EPS à part entière et désignations des premiers surveillants.

Le « collège unique » dans de nouveaux murs (1973-1988)

Avec plus de 300 élèves, le collège atteint une stabilité certaine au plan des effectifs, mais il se trouve à l’étroit, dans un espace éclaté peu fonctionnel, dans lequel s’éparpillent des bâtiments provisoires de plus en plus nombreux.

La construction d’un véritable collège devient donc souhaitable, réclamée à de nombreuses reprises. Ce projet est porté par le SIVOM, créé pour la circonstance en 1971 et présidé par Joseph Ritaine. Il faudra du temps et l’action du SIVOM présidé par Henri Gallet à partir de 1977 pour qu’elle mûrisse et trouve sa conclusion dans la construction d’un nouvel établissement entre 1979 et 1984. Une salle des sports vient compléter l’ensemble en 1986.

Le collège est cependant nationalisé en 1973 et l’État assure alors les deux tiers des dépenses de fonctionnement. Des services nouveaux se mettent progressivement en place (intendance qui gère entre autres la cantine, secrétariat administratif). L’environnement dans lequel évoluent les élèves progresse, avec la création de postes de surveillance. Si le nombre de professeurs et de divisions se maintient, le personnel au service de la communauté scolaire est en pleine croissance. Il faut aussi aménager des classes spécialisées pour l’enseignement des sciences et pour le travail manuel. La société enseignante finit par se stabiliser autour des quelques anciens des années soixante, d’autant plus que le mouvement perpétuel qui semblait l’animer au début des années soixante-dix finit par s’atténuer.

Néanmoins, l’accueil de plus en plus large d’une population scolaire hétérogène pose de lourds problèmes pédagogiques, surtout dans le contexte libéral et égalitariste de l’après-1968. Après les quelques réformes proposées par Fontanet (10%), c’est la réforme Haby qui se révèle fondamentale, puisqu’elle vise à la création du collège unique se met en place à la fin des années soixante-dix. Les filières disparaissent, laissant la place, pour venir en aide aux élèves en difficulté, au soutien (1977), puis aux classes de niveau, solution locale mise en place dans l’établissement en 1983.

L’environnement pédagogique du collège s’étoffe avec l’instauration, en 1978, d’un Centre de Documentation et d’Information, la réalisation de projets d’actions éducatives, menés avec constance de 1981 à 1985. Il faudra cependant attendre 1984 pour qu’un poste de conseiller d’éducation soit créé.

Enfin, la rénovation des collèges devient un thème à la mode sous le ministériat de Chevènement : aux pratiques anciennes comme le soutien, s’ajoutent l’initiation à l’informatique, le retour des études dirigées, l’ouverture vers l’Europe (l’appariement en 1985 avec le collège allemand de Windeck-Herchen).

• 1973, mars.- Circulaire Fontanet créant les 10% (10% de l’horaire laissés à la libre appréciation des enseignants)
• 1973, avril.- Le SIVOM demande la nationalisation du collège et s’engage à participer à 36 % des frais de fonctionnement du collège
• 1973, juin.- Intégration du personnel de service communal dans l’Éducation Nationale (Gisèle Lefebvre, Lucienne Goidin, Liliane Manetz, Micheline Ducamp)
• 1973, septembre.- Le C.E.G devient natonalisé mixte ; l’école primaire des garçons est rattachée à celle des filles, et Mme Gence devient la directrice de l’ensemble. En ce qui concerne la gestion (intendance à laquelle est ratachée la cantine), le collège est jumelé avec celui de Fruges, sous le contrôle d’un intendant commun. Un gestionnaire, Édouard Lefebvre, est nommé ; il est aidé d’un commis d’intendance.
• 1973, octobre.- Le SIVOM prend la décision d’acquérir un terrain pour la construction d’un C.E.G.
• 1974, mars.- La procédure d’expropriation du futur terrain du collège est engagée par le SIVOM
• 1974, septembre.- Le SIVOM loue à l’attention du gestionnaire un logement particulier
• 1975, juillet.- Réforme Haby, dite du « collège unique »
  • les conseils d’administration deviennent d’établissement avec renforcement du pouvoir du chef d’établissement
  • conseils de classe, doublés de conseils de professeurs
  • fin de la différence entre C.E.S. et C.E.G
  • fin des filières
  • pas de niveau exigé en 6^e: le collège devient le prolongement de l’école primaire
• 1975, septembre.- L’administration intègre un des logements d’instituteur rendu vacant
• 1976, septembre.- Aménagement d’une classe du silo pour les sciences physiques
• 1977.- Nouveaux programmes pour le cycle d’observation :
  • primauté de la linguistique dans l’étude du français
  • triomphe de la « nouvelle histoire », fin de la géographie-catalogue
• 1977, mars.- Circulaire créant les heures de soutien
• 1977, juin.- Henri Gallet, conseiller général du canton de Fauquembergues, devient président du SIVOM, Michel Mauconduit, fraîchement élu adjoint au maire de Fauquembergues, est vice-président. La volonté de construction d’un nouveau collège reçoit plus de détermination.
• 1978, juin.- Fin de la filière III
• 1978, septembre.-
  • Un CDI est ouvert et un documentaliste est nommé (M. Hennuyer).
  • Montage de trois classes préfabriquées dans le terrain acquis pour la construction du collège.
  • Implantation d’un atelier pour travaux manuels (décision SIVOM de décembre 1977)
• 1978, novembre.- Nouveaux programmes pour le cycle d’orientation (4^e-3^e)
• 1979, juin.- Exposition sur la Seconde Guerre Mondiale
• 1980, juin.- Fin des classes de pratiques, remplacées par une classe de C.P.P.N.
• 1980, septembre.- La bâtiment d’enseignement du nouveau collège est ouvert.
• 1981, décembre.- Le P.A.E Cinq mille ans de vie rurale dans le Haut-Pays, réalisé en concertaion avec le collège d'Hucqueliers, le Comité d’Aménagement Rural du Haut-Pays et le Comité d’Histoire, est présenté au centre Georges Pompidou à Paris.
• 1983, mars.- Grande consultation sur les collèges
• 1983, septembre.-
  • Institution des groupes de niveaux en 5^e pour le français, les mathématiques et l’anglais
  • Enseignement de la natation, à la piscine de Lumbres, pour les élèves de 6^e. Le SIVOM prend en charge le transport.
• 1984, septembre.- Inauguration du collège Monsigny, sous la présidence de M. Durand-Prinborgne Recteur de l’Académie de Lille, de Noël Josèphe, Président de région, de Roland Huguet, Président du Conseil Général, d’Henri Gallet, Conseiller Général.
• 1984, septembre.- Un poste de conseiller d’éducation est créé. Le collège nouveau devient complètement opérationnel.
• 1985, avril.- Appariement entre le collège de Fauquembergues et la « Realschule » de Windeck-Herschen, en Rhénanie-Westphalie (RFA). Initiatrice : Mme Charlemagne.
• 1985, juin.- Exposition « Patrimoine naturel et culturel du Haut-Pays », suite à un Projet d’Actions Éducatives.
• 1985, juillet.- Le SIVOM accepte le principe de construction d’une salle des fêtes, pour un coût de 2 190 000 Francs.
• 1985, novembre.- Arrêté du ministre Jean-Pierre Chevènement fixant les nouveaux programmes, applicables de 1986 à 1989.
  • Ces programmes tiennent compte de l’évolution accélérée des connaissances, notamment dans le domaine des sciences, des techniques et de l’informatique.
  • Ils doivent permettre à un nombre accru d’élèves d’accéder dans de bonnes conditions au lycée
  • Ils mettent l’accent, entre autres, sur l’apprentissage des langues, la technologie (qui remplace l’E.M.T.) et l’instruction civique.
• 1986, mars.- Loi de décentralisation : les collèges passent sous la responsabilité globale du Conseil général. Changement de modalités dans le calcul des frais de fonctionnement des collèges.
• 1986, juin.- Le Brevet des Collèges est restauré, alliant contrôle continu et examen en français, mathématiques et histoire-géographie
• 1986, septembre.- Le Collège peut disposer de la salle de sports, construite par le SIVOM
• 1986.- Processus de « rénovation du collège » : groupes de niveau, études dirigées, initiation à l’informatique, échanges interscolaires, soutien, professeurs en stage, etc...
• 1988, juin.- Départ en retraite de Paul Lecherf, promu commandeur dans l’ordre des Palmes Académiques

Le temps des successeurs (1988-1998)

C’est à Bernard Bourel qu’incombe la succession de M. Paul Lecherf, le père fondateur du collège. Homme passionné, il mettra au service du collège son dynamisme, son sens concret des techniques nouvelles et de l’innovation, ses connaissances pratiques, son souci de l’ouverture vers le monde extérieur, sa force de travail. Lui succède de 1992 à 1997 Paul Patey qui porté par les valeurs d’un humanisme intérieurement vécu a principalement mis l’accent, entre autres, sur l’action pédagogique... En 1997, Régis Fauchoit devient à son tour principal.

Les conditions matérielles de la vie du collège ont encore été améliorées. De nombreux travaux sur les bâtiments ont été réalisés par le Conseil général du Pas-de-Calais. L’équipement audiovisuel s’est renforcé; l’outil informatique est devenu d’usage courant.

Le domaine pédagogique a été marqué par le règne des classes hétérogènes, l’ouverture d’un cycle technologique pour les quatrièmes et troisièmes, la mise en place de dispositifs visant à aider les élèves en difficulté. Un projet d’établissement, conformément aux textes en vigueur tente de définir une politique globale et cohérente, intéressant l’ensemble de la société éducative. L’ouverture du collège vers l’extérieur et à diverses formes de la vie culturelle [activités musicales (chorale), sportives (classe de neige, UNSS), théâtre, expositions historiques et artistisques, découverte de l’Europe (Allemagne, Grande-Bretagne), Internet] a permis de modifier les pratiques pédagogiques. Le rôle joué par le C.D.I est plus important; il devient un lieu de vie et d’animation (journal scolaire, actions en faveur de la lecture, etc...)

Le personnel enseignant se renouvelle progressivement et devient plus nombreux, par l’effet mécanique des demi-postes. Les anciens sont désormais relayés par de jeunes certifiés qui apportent à la vie de l’établissement le sang neuf nécessaire aux évolutions indispensables. Ces enseignants ne composent cependant plus que la moitié d’un personnel en augmentation ces dernières années.

Aujourd'hui, le collège Monsigny représente la plus grosse entreprise tertiaire du canton de Fauquembergues. C’est un lieu d’éducation et de culture qui, fort de sa tradition trentenaire et de sa capacité d’ouverture, a su maintenir une qualité de vie fort appréciable à la fois pour les personnels et les enfants, et faire preuve d’une réelle efficacité.

• 1988, septembre.- M. Bernard Bourel est nommé principal du Collège Monsigny
• 1989, mars.- Un « arbre de la Liberté » est planté dans l’enceinte du collège
• 1989, juin.- Exposition, suite à un P.A.E., sur le Bicentenaire de 1789, « Le Haut-Pays à la fin de l’Ancien Régime et sous la Révolution ». Participation des écoles primaires du secteur et soutien du groupe de recherches généalogiques du Comité d'histoire du Haut-Pays.
• 1989, juin.- Projet d’établissement, élaboré par la Communauté éducative. Ce projet veut donner au collège une vocation de centre culturel, de doter des outils et technologiques indispensables, valoriser les élèves en les responsabilisant, dévlopper la fréquentation du CDI et les activités socio-culturelles et sportives, mettre en oeuvre des dispositif d’aide aux èlèves en difficultés par l’aide individualisée, dans le cadre d’une pédagogie en mouvement...
• 1989, juillet.- Loi d’orientation sur l’éducation, sous l’impulsion de Lionel Jospin, ministre de l’Éducation nationale
• 1990, juin.- Exposition sur l’année 1940
• 1991, janvier.- Première classe de neige à la Chapelle d'Abondance (Haute-Savoie), sous la responsabilité de Mmes Grandidier et Fasiolo
• 1991, septembre.-
  • Ouverture d’une quatrième pré-technologique (solution maison pour venir en aide à quelques élèves souffrant de difficultés pour suivre un enseignement général)
  • Le latin en 4^e (puis la troisième en 1992)
• 1992, février.- Les classes de neige se déplacent, pour la première fois, dans le Tyrol autrichien
• 1992, juin.- Départ de M. Bernard Bourel pour le collège de Thérouanne
• 1992, septembre.- Ouverture d’une quatrième technologique
• 1992, septembre.- M. Paul Patey est nommé principal
• 1994, juin.- Première fête des écoles de Fauquembergues (collège + école primaire)
• 1994, décembre.- Nouveau contrat pour l’école du Conseil National des programmes « Idées directrices pour le programmes du collège »
  • Alléger les programmes et les recentrer sur l’essenteil
  • Recherche d’une cohérence maximale pour chaque discipline et entre les disciplines
  • Rôle privilégié du Centre de Documentation
  • Importance reconnue de la maîtrise de la langue
  • Education civique repensée et élargie, impliquant chaque membre de l’équipe éducative
• 1995, mai.- Dixième anniversaire de l’appariement « Windeck-Fauquembergues »
• 1995, juillet.- Loi de programmation du « nouveau contrat pour l’école », sous l’impulsion de François Bayrou, ministre de l’Éducation Nationale
• 1995, septembre.- Camille Dupuis, maire de Fauquembergues, devient président du SIVOM. Il remplace dans cette fonction Henri Gallet.
• 1995, novembre.- Mise en oeuvre des nouveaux programmes de 6^e pour la rentrée 1996
  • Horaires élèves entre 22 h 30 et 24 heures (souplesse de l’horaire d’enseignement dans toutes les disciplines sauf pour le Français et l’EPS
  • Maîtrise de la langue française dans toutes les disciplines
  • Approche rénovée de l’Éducation Civique
  • Dispositif de consolidation pour les élèves en difficultés, avec une organisation des horaires et programmes aménagés
  • Etudes dirigées ou encadrées
• 1996, février.- Transformation du SIVOM en S.I.V.U. étant donné qu’il n’exerce plus que la seule compétence scolaire et culturelle liée au collège
• 1997, juin.- Départ en retraite de M. Fouache et départ de M. Paul Patey vers Ardres
• 1997, septembre.- M. Régis Fauchoit est nommé principal
• 1997, novembre.- Institution du « petit-déjeuner » pour les élèves arrivant tôt.
• 1998, mars.- Création de deux emplois-jeunes, chargés l’un de l’informatique, l’autre de l’animation
• 1998, mars.- Claire Lootvoet, élève de 3^e, troisième prix départemental au Concours National de la Résistance.
• 1998, mai.- Sabine Titrent, ancienne élève du cycle technologique, admise en finale du Concours Général
• 1998, avril.- Ouverture du site informatique
• 1998, juin.- Départ en retraite de M. Serge Sénéchal. Départ de M. Régis Fauchoit. Gérald Verroust nommé principal

Depuis 1998

• 2003, juin.- Départ en retraite de M. Michel Mauconduit
• 2004, juin.- Départs en retraite de Mme Edith Massez, MM. Gérald Verroust, René Lesage.
• 2004, septembre.- Mme Josée Dewidehem, principale du collège
• 2005, juin.- Départ en retraite de M. Pierre Vasseur
• 2006, juin.- Départ en retraite de M. Louis Boutin
• 2007, mars.- Inauguration du Foyer de vie Henri Gallet
• 2007, juin.- Départs en retraite de MM. Michel Cadart et Jean-Jacques Classe. Mme Josée Dewidehem quitte le collège vers de nouveaux horizons
• 2007, septembre.- M. Michel Thilliez principal du collège