Marius René Joseph Garache : Différence entre versions

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Marius René Joseph Garache est né le 16 février 1892 à [[Amettes]], cultivateur, fils de Célestin Alexandre Garache (cultivateur), et d'Augustine Angélique Dégrugillier (cultivatrice). En 1911, Marius vit au domicile de ses parents au 2 rue du Bout d’Amont. On trouve sous le toit familial : Célestin (né en 1846, cultivateur), Augustine (née en 1850), puis leurs enfants : François (né en 1885, cultivateur), Marius (né en 1892, cultivateur), Estelle (née en 1895).
 
Marius René Joseph Garache est né le 16 février 1892 à [[Amettes]], cultivateur, fils de Célestin Alexandre Garache (cultivateur), et d'Augustine Angélique Dégrugillier (cultivatrice). En 1911, Marius vit au domicile de ses parents au 2 rue du Bout d’Amont. On trouve sous le toit familial : Célestin (né en 1846, cultivateur), Augustine (née en 1850), puis leurs enfants : François (né en 1885, cultivateur), Marius (né en 1892, cultivateur), Estelle (née en 1895).
  
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Matricule 3953 au recrutement de [[Béthune]]. Incorporé le 9 octobre 1913 au {{18e}} bataillon de chasseurs à pied. Blessé le 15 septembre 1914 par éclat d'obus à la cuisse droite au combat de Servon. Cité à l'ordre de la division n° 60 du bataillon 141 le 7 novembre 1916 : ''Chasseur courageux et dévoué a été mortellement atteint au moment où il s’appliquait avec autant de sang froid que d’abnégation au lâchage de pigeons voyageurs sous un bombardement des plus violents''.
  
Matricule 3953 au recrutement de [[Béthune]]. Incorporé le 9 octobre 1913 au {{18e}} bataillon de chasseurs à pied. Blessé le 15 septembre 1914 par éclat d’obus à la cuisse droite au combat de Servon. Cité à l’ordre de la division n° 60 du bataillon 141 le 7 novembre 1916 : ''Chasseur courageux et dévoué a été mortellement atteint au moment où il s’appliquait avec autant de sang froid que d’abnégation au lâchage de pigeons voyageurs sous un bombardement des plus violents''.
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Soldat de {{2e}} classe au {{102e}} bataillon de chasseurs à pied. Mort pour la France le 25 octobre 1916 au ravin du Bazil (Meuse). Un secours immédiat de 150 francs a été accordé le 10 février 1917 à son père.  
 
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Soldat de {{2e}} classe au 102e bataillon de chasseur à pied. Mort pour la France le 25 octobre 1916 au ravin du Bazil (Meuse). Un secours immédiat de 150 francs a été accordé le 10 février 1917 à son père.  
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{{Inscrit|commune=d'Amettes}}
 
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*[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], état civil, recensement de population de 1911 et recrutement militaire 1 R 8277.
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*[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/3a50d89c71f3ee83156ed77c24c952fa Archives départementales du Pas-de-Calais, recrutement militaire]
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*[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], état civil et recensement de population de 1911  
  
[[Catégorie:Combattant de la Grande Guerre du Pas-de-Calais|Garache, Marius Rene Joseph]]
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[[Catégorie:Mort pour la France en 1916|Garache, Marius Rene Joseph]]
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[[Catégorie:Combattant de la Grande Guerre du Pas-de-Calais]]
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Version actuelle en date du 12 juillet 2020 à 09:02

Marius René Joseph Garache est né le 16 février 1892 à Amettes, cultivateur, fils de Célestin Alexandre Garache (cultivateur), et d'Augustine Angélique Dégrugillier (cultivatrice). En 1911, Marius vit au domicile de ses parents au 2 rue du Bout d’Amont. On trouve sous le toit familial : Célestin (né en 1846, cultivateur), Augustine (née en 1850), puis leurs enfants : François (né en 1885, cultivateur), Marius (né en 1892, cultivateur), Estelle (née en 1895).

Matricule 3953 au recrutement de Béthune. Incorporé le 9 octobre 1913 au 18e bataillon de chasseurs à pied. Blessé le 15 septembre 1914 par éclat d'obus à la cuisse droite au combat de Servon. Cité à l'ordre de la division n° 60 du bataillon 141 le 7 novembre 1916 : Chasseur courageux et dévoué a été mortellement atteint au moment où il s’appliquait avec autant de sang froid que d’abnégation au lâchage de pigeons voyageurs sous un bombardement des plus violents.

Soldat de 2e classe au 102e bataillon de chasseurs à pied. Mort pour la France le 25 octobre 1916 au ravin du Bazil (Meuse). Un secours immédiat de 150 francs a été accordé le 10 février 1917 à son père.


Lien interne

Inscrit sur le monument aux morts d'Amettes

Sources