Paul Froment : Différence entre versions

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à [[Serny]] le 2 octobre 1894. Frère de [[André Froment (1898-1918)|Marcel Froment]].
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Paul Émile Joseph Froment est né le {{1er}} octobre 1895 à [[Enquin-les-Mines]] ([[Serny]]), fils d'Émile Froment et de Clémence Delvoye. Frère de [[André Froment (1898-1918)|Marcel Froment]]. Il était ouvrier mineur.
  
Mineur, il intègre le {{3e}} régiment du Génie au Pont de Cé, le 13 décembre 1914.
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Il intègre le {{3e}} régiment du Génie au Pont de Cé, le 13 décembre 1914. En avril 1915, il combat sur l'Yser. Pendant l'offensive de la Somme, il tombe dans un trou d'obus dont il n'est extirpé que 24 heures plus tard à l'aide de cordages. Fin juin 1918, il assiste aux obsèques de son jeune frère, [[Marcel Froment|Marcel]]. Il ne lui survivra que trois semaines.
  
En avril 1915, il combat sur l'Yser. Pendant l'offensive de la Somme, il tombe dans un trou d'obus dont il n'est extirpé que 24 heures plus tard à l'aide de cordages.
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Mort pour la France le 23 juillet 1918 à Aubervilliers (Somme), tué à l’ennemi au cours d'une liaison très dangereuse à Malpart, pour laquelle il s'était porté volontaire. Il est alors cité pour son courage et son dévouement à l'ordre de la {{157e}} division du Génie :
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{{Citation|Sapeur très courageux, très dévoué, à l'attaque du 23 juillet 1918 à [M..], s'est donné en exemple à ses camarades par son cran et son allant, s'est offert pour assurer une mission très dangereuse. Mortellement blessé au cours de cette action.}}
  
Fin juin 1918, il assiste aux obsèques de son jeune frère, [[Marcel Froment|Marcel]]. Il ne lui survivra que trois semaines.
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Titulaire de ma croix de guerre.
  
Le 23 juillet 1918, il tombe en tenant d'effectuer une liaison très dangereuse à Malpart, pour laquelle il s'est porté volontaire. Il est alors cité pour son courage et son dévouement à l'ordre de la {{157e}} division du Génie.
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==Lien interne==
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*{{Inscrit|commune= d'Enquin-les-Mines}}
  
 
== Sources ==
 
== Sources ==
*[[Archives diocésaines d'Arras]], ''série 6V''
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*[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/lib_memh/php/fiche_popup.php?_Base=MPF1418&_Lg=fr&_Fiche=7icQVJxU8gOmdBwHsGtUEQ==&_C=3997954339 Sa fiche Mémoire des hommes]
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*[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/83ef08da9f5c2a90 Archives départementales du Pas-de-Calais, recrutement militaire 1 R 9335, matricule 381]
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*[[Archives du diocèse d'Arras]], ''série 6 V''
  
[[Catégorie:Combattant de la Grande Guerre du Pas-de-Calais|Froment, Paul]]
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{{DEFAULTSORT:Froment, Paul}}
[[Catégorie:Mort pour la France en 1918|Froment, Paul]]
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[[Catégorie:Combattant de la Grande Guerre du Pas-de-Calais]]
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[[Catégorie:Mort pour la France en 1918]]
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[[Catégorie:1914-1918 - Militaire mort dans la Somme]]
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[[Catégorie:Génie]][[Catégorie:Titulaire de la Croix de Guerre 1914-1918]]

Version du 3 novembre 2013 à 14:45

Paul Émile Joseph Froment est né le 1er octobre 1895 à Enquin-les-Mines (Serny), fils d'Émile Froment et de Clémence Delvoye. Frère de Marcel Froment. Il était ouvrier mineur.

Il intègre le 3e régiment du Génie au Pont de Cé, le 13 décembre 1914. En avril 1915, il combat sur l'Yser. Pendant l'offensive de la Somme, il tombe dans un trou d'obus dont il n'est extirpé que 24 heures plus tard à l'aide de cordages. Fin juin 1918, il assiste aux obsèques de son jeune frère, Marcel. Il ne lui survivra que trois semaines.

Mort pour la France le 23 juillet 1918 à Aubervilliers (Somme), tué à l’ennemi au cours d'une liaison très dangereuse à Malpart, pour laquelle il s'était porté volontaire. Il est alors cité pour son courage et son dévouement à l'ordre de la 157e division du Génie :

« Sapeur très courageux, très dévoué, à l'attaque du 23 juillet 1918 à [M..], s'est donné en exemple à ses camarades par son cran et son allant, s'est offert pour assurer une mission très dangereuse. Mortellement blessé au cours de cette action. »

Titulaire de ma croix de guerre.


Lien interne

Sources