Domaine de la Traxène : Différence entre versions

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La ferme de la Traxène de [[Coupelle-Vieille]], comme on l'appelait communément, a été dotée en [[1870]] d'un corps de logis en pierre blanche dotée de quatre pilastres en façade et de corniches. L'ensemble du bâti a été restauré pour devenir un lieu prestigieux pour accueillir des réceptions.
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[[Image:FermeTraxène.jpg|thumb|400px|left|<center>Le domaine de la Traxène présente un corps de bâtiments en cour carrée. Dans celle-ci on peut observer le colombier bâti ''en rouge barre'' et le corps de logis]]La ferme de la Traxène de [[Coupelle-Vieille]], comme on l'appelait communément, a été dotée en [[1870]] d'un corps de logis en pierre blanche dotée de quatre pilastres en façade et de corniches. L'ensemble du bâti a été restauré pour devenir un lieu prestigieux pour accueillir des réceptions.
  
 
On trouve encore au cimetière communal la tombe de [[Célestin Sulpice Fleury]], propriétaire de la ferme à la Révolution, devenu député d'Artois en [[1789]]. C'est lui qui fit élever (non sans malice) le colombier au beau milieu de sa cour, privilège seigneurial alors à peine aboli.
 
On trouve encore au cimetière communal la tombe de [[Célestin Sulpice Fleury]], propriétaire de la ferme à la Révolution, devenu député d'Artois en [[1789]]. C'est lui qui fit élever (non sans malice) le colombier au beau milieu de sa cour, privilège seigneurial alors à peine aboli.
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== Sources ==
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* Albert Leroy, ''Les vieilles fermes du Pays de Montreuil''.
  
 
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Version du 29 octobre 2011 à 08:08

Le domaine de la Traxène présente un corps de bâtiments en cour carrée. Dans celle-ci on peut observer le colombier bâti en rouge barre et le corps de logis
La ferme de la Traxène de Coupelle-Vieille, comme on l'appelait communément, a été dotée en 1870 d'un corps de logis en pierre blanche dotée de quatre pilastres en façade et de corniches. L'ensemble du bâti a été restauré pour devenir un lieu prestigieux pour accueillir des réceptions.

On trouve encore au cimetière communal la tombe de Célestin Sulpice Fleury, propriétaire de la ferme à la Révolution, devenu député d'Artois en 1789. C'est lui qui fit élever (non sans malice) le colombier au beau milieu de sa cour, privilège seigneurial alors à peine aboli.

Sources

  • Albert Leroy, Les vieilles fermes du Pays de Montreuil.