Verchocq : Différence entre versions
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Version du 13 février 2012 à 20:50
| Verchocq | |
|---|---|
| Administration | |
| Arrondissement | [[Arrondissement |]] |
| Code Insee | |
| Code postal | |
| Intercommunalité | [[]] |
| Statistiques | |
| Population | hab. |
| Superficie | km2 |
| Densité | hab. par km2 |
| Autres | |
| Site web | |
Sommaire
Territoire
caractéristiques générales, limites, hameaux, ...
Toponymie
Géographie
Patrimoine naturel
Histoire
Patrimoine
Lieux et monuments
Liste des lieux remarquables
Le château
Habitat
Mottes castrales, châteaux, manoirs, maisons, ...
Patrimoine religieux
Eglises, presbytère, chapelles, niches, calvaires, oratoires, ...
- Les chapelles :
- La chapelle de Gournay
- La chapelle Saint-André de Fasques
- La chapelle Notre-Dame des Sept Grâces
- La chapelle située rue du Puits est d’origine inconnue ; elle ne figure pas sur la carte de Cassini mi XVIIIe, et a servi de sépulture.
- La chapelle Notre-Dame-des-larmes, insérée dans la maison à l’angle de la route de Coupelle-Vieille et de la rue de Payelleville, remonterait à la fin du XVIe siècle.
- Rue de la chapelle, un édifice existant déjà en 1880 fut restauré en 1938. Elle comprend une statue de Notre Dame de Lourdes. Insérée au milieu d'une construction en torchis, elle fut bâtie à la suite de plusieurs incendies de toits de chaume dans le quartier.
- Au Val du Fresne, une chapelle Saint-Pierre, aussi appelée chapelle Noël, en ruine, fut restaurée vers 1962. Située dans un chemin communal vers Maisoncelle, elle se trouve dans l'entrée de la ferme familiale du défunt François Courtin.
- Toujours au Val du Fresne, la chapelle à l'intersection des cinq chemins est dédiée à deux saints : Sainte Thérèse et Saint Liévin. Elle remplace une ancienne chapelle délabrée et fut restaurée en 1930.
- Les calvaires :
- Le calvaire du chemin d’Hucqueliers fut érigé en 1912 par la famille de La Gorce.
- La croix placée contre le mur de l'église, face au monument aux morts, dans le cimetière, fut érigée en 1847 aux frais des habitants pour le bienfait de la mission de 1846 et pour se protéger contre la grêle qui ravageait les récoltes.
- Le calvaire adossé au mur de la bibliothèque fut élevé pour marquer l'arrêt du grand incendie de 1852 qui a ravagé le cœur du village. Il a été restauré en 1992 par la municipalité et bénit par l'abbé Ansel. L’incendie avait détruit dix maisons, et été causé par des enfants qui mirent le feu à une grange en l'absence de leurs parents occupés à la moisson. Pour éteindre le feu, des seaux d'eau puisés dans les mares se passèrent de main en main… L'instituteur était grimpé dans le clocher de l’église et dans l’obscurité, lanterne à la main, avait sonné le tocsin. Cet incendie motiva les Verchocquois à créer, avant les autres communes, une compagnie de pompiers à Verchocq et à Rollez en 1876.
- Le calvaire le plus ancien de la commune se situe sur l'ancienne place de Fasquelle. Le cadastre napoléonien de 1834 montre qu'il s'y trouvait déjà un calvaire, dit d'Artois, mentionné en 1759, à la croix blanche, qui en 1780 servait de limite à un canton (séparation communale avec le moulin de Tachencourt-Fasques). Délaissé, il fut relevé en 1845 par Louis Blondel, puis par la famille Delattre en 1910 : il y eut alors une « procession sous les arcs de triomphe avec les cavaliers imposants, petits zouaves, gentils anges et angelots, bergerettes et frileuses, symbolisant le travail, escortés d'une foule considérable ». Puis le temps poursuivit son œuvre destructive, et c’est la famille Roussel, devenue propriétaire de ce calvaire, qui se proposa vers 1975, pour relever la croix.
- Le calvaire non loin du Mont de Gournay, fut érigé en 1946 par la famille Dumetz, en remerciement pour le retour sain et sauf d'un prisonnier de guerre, membre de la famille.
- Le calvaire de Fasques est à l'extrémité du territoire, vers Renty, et fut élevé par la famille Leleu pour Louis Leleu, ancien combattant, et ses oncles défunts, le 21 septembre 1919. On dénombrait 14 arcs de triomphe, « l'émotion remplit les cœurs pendant que les clairons sonnaient au drapeau et que les coups de fusil annonçaient la scène toujours émouvante, de la mise en croix »[1].
- Le calvaire à l’angle Gournay-Rollez, fut érigé le 27 mai 1846 par la famille Alice, rue de Payelleville.
- Le calvaire (caché par des panneaux de signalisation attenant au mur de la propriété de M. Jean Mahu), situé en face de la chapelle, fut inauguré en 1936 et érigé par M. Victor Ducrocq.
- À Rollez, calvaire situé au milieu de la rue des Vaudons dans une pâture (ancien verger), a dû être érigé par la famille Dewamin au début du XIXe siècle et restauré vers 1905-1910, par la famille Ficheux qui a remplacé le bois par le fer forgé. Dans les années, 1850-1925, à la Saint-Jean, le 21 juin, la population de Rollez se réunissait dans le verger, autour d'un feu de joie, pour danser au milieu de très nombreux pommiers, aujourd'hui disparus, et chanter « Bon Saint Christophe donne-nous des petites pommes et des grosses ».
- À Rollez, le calvaire sur la route de Val du Fresne, fut érigé le 21 mai 1811 par Pierre Joseph Raux.
Patrimoine éducatif
Ecoles, collèges, lycées, universités, instituts de formation, universités populaires, ...
Patrimoine économique
Moulins, gares, forges, brasseries, ...
Patrimoine militaire
Blockhaus, rampes V1, ...
Patrimoine judiciaire
tribunal, prison, ...
Patrimoine ethnographique
Coutumes et traditions : pratiques locales, costumes, musique, sports, gastronomie, folklore, fêtes traditionnelles, ...
Patrimoine commémoratif
Économie
Données actuelles
Infrastructures et équipements
Collectivités publiques et services : écoles, postes, piscines, bibliothèques, centres sportifs, ...
Vie quotidienne
Vie associative, sport, loisirs, etc
Des hommes et des femmes
Démographie
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Personnes
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| en cours | ||||
| Toutes les données ne sont pas encore connues. | ||||
Maires, curés, instituteurs, officiers, décorés, personnalités, seigneurs, ...
Notes et liens
Bibliographie
- Georges Henguelle, « La frontière entre Artois et Boulonnais de Brimeux à Verchocq au XVIe siècle », Bulletin historique du Haut-Pays n° 7, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1975.
- Pierre Bellenguez, « Victimes religieuses sous la Révolution à Verchocq et Renty », Bulletin historique du Haut-Pays n° 39, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1990.
- Pierre Bellenguez, « Les Britanniques et Churchill à ...Verchocq pendant la première guerre mondiale », Bulletin historique du Haut-Pays n° 42, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1991.
- Philippe May, « Les premiers quartiers de Charles-Antoine Condette, natif de Verchocq », Dossiers généalogiques n° 7, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1991.
- André Accart, « Conférence-débat donnée à Verchocq le 30 septembre 1995 », Bulletin historique du Haut-Pays n° 49-50, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1995.
- Pierre Bellenguez, Histoire de Verchocq et ses hameaux, coll. Études et documents n° 14, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1995.
- André Accart (dir), « Verchocq (notice) », Raconte-moi mon village dans le Haut-Pays I, coll. Études et documents n° 19, Comité d'histoire du Haut-Pays, 1997.
- Pierre Bellenguez, « Écoles et écoliers à Verchocq », Bulletin historique du Haut-Pays n° 76, Comité d'histoire du Haut-Pays, 2010.
Liens internes
Liens externes
Notes
- ↑ D'après les Archives diocésaines (registre historique de paroisse), et les recherches de Pierre Bellenguez.
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
