Marie Grégorine François : Différence entre versions

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Marie Grégorine Josèphe François fut la première institutrice de l’école communale de filles de [[Racquinghem]]. Née en [[1837]] à [[Zudausques]], elle fut formée à l’[[École normale de Dohem]]. Le 10 août [[1860]], elle obtint le brevet de capacité, et enseigna à [[Racquinghem]] où elle fut titularisée en [[1867]].
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Marie Grégorine Josèphe François fut la première institutrice de l’école communale de filles de [[Racquinghem]]. Née en [[1837]] à [[Zudausques]], elle fut formée à l’[[École normale de Dohem]]. Le 10 août [[1860]], elle obtint le brevet de capacité, et enseigna à [[Racquinghem]] où elle fut titularisée en 1867.
  
 
Très bien considérée par ses pairs au début de sa carrière, elle est de plus en plus critiquée dans les derniers rapports d'inspection : cette dégradation peut s’expliquer par la maladie qui point. En décembre 1890, elle se voit obligée de prendre un congé, souffrant d’un œdème à la jambe. Elle s’efforce comme elle peut de reprendre sa classe mais en avril 1891, mais le médecin de [[Roquetoire]] écrit à l’inspecteur qu’il l'estime perdue à brefs délais. Elle décède le 7 mai suivant.
 
Très bien considérée par ses pairs au début de sa carrière, elle est de plus en plus critiquée dans les derniers rapports d'inspection : cette dégradation peut s’expliquer par la maladie qui point. En décembre 1890, elle se voit obligée de prendre un congé, souffrant d’un œdème à la jambe. Elle s’efforce comme elle peut de reprendre sa classe mais en avril 1891, mais le médecin de [[Roquetoire]] écrit à l’inspecteur qu’il l'estime perdue à brefs délais. Elle décède le 7 mai suivant.

Version du 8 novembre 2011 à 20:15

Marie Grégorine Josèphe François fut la première institutrice de l’école communale de filles de Racquinghem. Née en 1837 à Zudausques, elle fut formée à l’École normale de Dohem. Le 10 août 1860, elle obtint le brevet de capacité, et enseigna à Racquinghem où elle fut titularisée en 1867.

Très bien considérée par ses pairs au début de sa carrière, elle est de plus en plus critiquée dans les derniers rapports d'inspection : cette dégradation peut s’expliquer par la maladie qui point. En décembre 1890, elle se voit obligée de prendre un congé, souffrant d’un œdème à la jambe. Elle s’efforce comme elle peut de reprendre sa classe mais en avril 1891, mais le médecin de Roquetoire écrit à l’inspecteur qu’il l'estime perdue à brefs délais. Elle décède le 7 mai suivant.

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