Élie Houplain : Différence entre versions

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==Parcours militaire==
 
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{{2e}} canonnier conducteur au {{215e}} régiment d’artillerie de campagne, matricule 1167 au recrutement d'Arras. Mort pour la France le 6 mai 1918 à l’hôpital complémentaire de Saint-Hilaire Saint-Mesmin (Loiret), des suites des maladie (tuberculose pulmonaire <ref>{{MDH}}</ref>).
 
{{2e}} canonnier conducteur au {{215e}} régiment d’artillerie de campagne, matricule 1167 au recrutement d'Arras. Mort pour la France le 6 mai 1918 à l’hôpital complémentaire de Saint-Hilaire Saint-Mesmin (Loiret), des suites des maladie (tuberculose pulmonaire <ref>{{MDH}}</ref>).
Incorporé au {{15e}} régiment d'artillerie le 7 décembre 1909, passé au {{1er}} escadron du train des équipages militaires le 26 septembre 1910 comme soldat ordonnance, passé dans la réserve le 2 octobre 1911. rappelé au 2e jour de la mobilisation au {{15e}} régiment d'artillerie ({{21e}} batterie), passé au {{215e}} régiment d'artillerie le {{1er}} avril 1917, évacué le 8 janvier 1918 ; décédé à l’hôpital sanitaire 1 annexe Saint-Hilaire à Saint-Mesmin <ref>[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], état civil</ref>.
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Incorporé au {{15e}} régiment d'artillerie le 7 décembre 1909, passé au {{1er}} escadron du train des équipages militaires le 26 septembre 1910 comme soldat ordonnance, passé dans la réserve le 2 octobre 1911. rappelé au 2e jour de la mobilisation au {{15e}} régiment d'artillerie ({{21e}} batterie), passé au {{215e}} régiment d'artillerie le {{1er}} avril 1917, évacué le 8 janvier 1918 ; décédé à l’hôpital sanitaire 1 annexe Saint-Hilaire à Saint-Mesmin <ref>[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], recrutement militaire</ref>.
  
 
== Sources ==
 
== Sources ==

Version du 11 novembre 2011 à 00:45

Élie François Louis Joseph Houplain est né le 05/02/1888 à Bailleulval. Fils de François Houplain et d’Aline Castelain ; il exerçait la profession de cultivateur et était domicilié à Bailleulval.

Parcours militaire

2e canonnier conducteur au 215e régiment d’artillerie de campagne, matricule 1167 au recrutement d'Arras. Mort pour la France le 6 mai 1918 à l’hôpital complémentaire de Saint-Hilaire Saint-Mesmin (Loiret), des suites des maladie (tuberculose pulmonaire [1]). Incorporé au 15e régiment d'artillerie le 7 décembre 1909, passé au 1er escadron du train des équipages militaires le 26 septembre 1910 comme soldat ordonnance, passé dans la réserve le 2 octobre 1911. rappelé au 2e jour de la mobilisation au 15e régiment d'artillerie (21e batterie), passé au 215e régiment d'artillerie le 1er avril 1917, évacué le 8 janvier 1918 ; décédé à l’hôpital sanitaire 1 annexe Saint-Hilaire à Saint-Mesmin [2].

Sources

  1. Mémoire des hommes
  2. Archives départementales du Pas-de-Calais, recrutement militaire