Henri Ditte (1887-1918) : Différence entre versions

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Henri François Joseph Ditte est né le 16/03/1887 à [[Bailleulval]]. Fils de Jules Gabriel Ditte et de Léonie Sibille ; il exerçait la profession de maçon.  
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Henri François Joseph Ditte est né le 16 mars 1887 à [[Bailleulval]], fils de Jules Gabriel Ditte (ouvrier maçon) et de Léonie Sibille. Il s'est marié le 5 juin 1911 à [[Bailleulval]] avec Émilie Tissier. Il exerçait la profession de maçon.  
  
 
==Parcours militaire==
 
==Parcours militaire==
{{1er}} canonnier au {{259e}} régiment d’artillerie, matricule 380 au recrutement d'Arras. Mort pour la France le 4 juin 1918 à Compiègne (Oise), à l'ambulance 5/59 secteur postale 164, des suites de blessures. Incorporé comme {{2e}} canonnier servant le 7 octobre 1908 au {{5e}} bataillon d’artillerie à pied, passé au {{5e}} régiment d'artillerie à pied le {{1er}} mars 1910 ; rappelé à l’activité le 3 août 1914 au {{5e}} régiment d'artillerie à pied, passé au {{2e}} régiment d'artillerie de campagne le 6 avril 1915, passé au {{259e}} régiment d'artillerie le {{1er}} avril 1917. Il passe {{1er}} canonnier servant le {{1er}} avril 1917 ; citation à l’ordre de la division n°37 du 21 juin 1918 : ''canonnier dévoué et courageux. Très grièvement blessé d’éclats d’obus au ventre alors qu’il réparait sa pièce sous un violent tir d’artillerie lourde'', blessé le 5 juin 1918 par éclat d’obus (plaies cuisse gauche et ventre).
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{{1er}} canonnier au {{259e}} régiment d'artillerie, matricule 380 au recrutement d'Arras. Mort pour la France le 4 juin 1918 à Compiègne (Oise), à l'ambulance 5/59 secteur postal 164, des suites de blessures (plaies cuisse gauche et ventre). Incorporé comme {{2e}} canonnier servant le 7 octobre 1908 au {{5e}} bataillon d’artillerie à pied, passé au {{5e}} régiment d'artillerie à pied le {{1er}} mars 1910 ; rappelé à l'activité le 3 août 1914 au {{5e}} régiment d'artillerie à pied, passé au {{2e}} régiment d'artillerie de campagne le 6 avril 1915, passé au {{259e}} régiment d'artillerie le {{1er}} avril 1917. Il passe {{1er}} canonnier servant le {{1er}} avril 1917.
  
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Il a fait l'objet d'une citation à l’ordre de la division n° 37 du 21 juin 1918 :
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*{{Inscrit|commune= de Bailleulval}}
  
 
== Sources ==
 
== Sources ==
*{{MDH}}
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*[http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/fe80abfc1dbd0ac68617cc3deea9b971 Archives départementales du Pas-de-Calais, état civil, acte de naissance de Bailleulval, 1887, n° 2].
*[[Archives départementales du Pas-de-Calais]], recrutement militaire
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*[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239e4933d118 Fichier des morts pour la France].
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*{{AD62}}, recrutement militaire, [http://archivesenligne.pasdecalais.fr/ark:/64297/a966d28c9adca434 1 R 7147].
  
[[Catégorie:Combattant de la Grande Guerre du Pas-de-Calais|Ditte, Henri]]
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{{DEFAULTSORT:Ditte, Henri}}
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[[Catégorie:Combattant de la Grande Guerre du Pas-de-Calais]]
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[[Catégorie:Sergent]]
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[[Catégorie:1914-1918 - Militaire mort dans l'Oise]]
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[[Catégorie:Infanterie]]
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Version actuelle en date du 3 décembre 2017 à 12:57

Henri François Joseph Ditte est né le 16 mars 1887 à Bailleulval, fils de Jules Gabriel Ditte (ouvrier maçon) et de Léonie Sibille. Il s'est marié le 5 juin 1911 à Bailleulval avec Émilie Tissier. Il exerçait la profession de maçon.

Parcours militaire

1er canonnier au 259e régiment d'artillerie, matricule 380 au recrutement d'Arras. Mort pour la France le 4 juin 1918 à Compiègne (Oise), à l'ambulance 5/59 secteur postal 164, des suites de blessures (plaies cuisse gauche et ventre). Incorporé comme 2e canonnier servant le 7 octobre 1908 au 5e bataillon d’artillerie à pied, passé au 5e régiment d'artillerie à pied le 1er mars 1910 ; rappelé à l'activité le 3 août 1914 au 5e régiment d'artillerie à pied, passé au 2e régiment d'artillerie de campagne le 6 avril 1915, passé au 259e régiment d'artillerie le 1er avril 1917. Il passe 1er canonnier servant le 1er avril 1917.


Il a fait l'objet d'une citation à l’ordre de la division n° 37 du 21 juin 1918 :

« Canonnier dévoué et courageux. Très grièvement blessé d’éclats d’obus au ventre alors qu’il réparait sa pièce sous un violent tir d’artillerie lourde. »

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Lien interne

Sources