Le Cabaret à Leu de Bernieulles : Différence entre versions
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En 1882, le ''Cabaret à Leu'' fut vendu par Isidore Bégard, dernier aubergiste, au colonel de Guizelin, châtelain de Recq, qui possédait des terres à proximité. C’est désormais une exploitation agricole tenue depuis quatre générations par la même famille. | En 1882, le ''Cabaret à Leu'' fut vendu par Isidore Bégard, dernier aubergiste, au colonel de Guizelin, châtelain de Recq, qui possédait des terres à proximité. C’est désormais une exploitation agricole tenue depuis quatre générations par la même famille. | ||
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Version du 12 janvier 2012 à 15:12
À Bernieulles, jadis auberge, où selon l’ancienne formule on loge à pied et à cheval, elle faisait partie de ces relais souvent utilisés par les messageries privées, généralement situés à peu de distance des relais officiels de la Poste aux Chevaux, comme celui de Cormont.
C’est là qu’échouaient souvent les chemineaux parcourant à pied de longues distances pour trouver du travail. Parfois aussi on y mourait, tel ce 9 novembre 1828, un maréchal-ferrant de 26 ans, Jean-Baptiste Merlier.
En 1882, le Cabaret à Leu fut vendu par Isidore Bégard, dernier aubergiste, au colonel de Guizelin, châtelain de Recq, qui possédait des terres à proximité. C’est désormais une exploitation agricole tenue depuis quatre générations par la même famille.